Cette étude de l’Institut national d’études démographiques montre que ce sont les femmes peu qualifiées qui pâtissent le plus de la montée des horaires atypiques, en particulier du travail habituel le samedi et le dimanche. Elles sont surreprésentées dans les métiers du commerce et de la distribution, où le travail dominical a progressé, ainsi que dans les métiers du soin et des services à la personne, où les horaires atypiques sont structurels et peu sujets à amélioration.

> voir l’étude