À l’heure où les politiques culturelles territoriales font l’objet de coupes budgétaires drastiques, il s’agit d’affirmer qu’elles sont tout sauf un luxe superflu. De fait, la culture et l’art ne constituent pas un secteur à part voué aux pratiques de quelques-uns, mais bien un outil majeur pour réinventer des rapports plus durables à l’habiter et au vivant, et ainsi surmonter l’épreuve anthropocène.
>Pour lire l’article, cliquez ici
